Seul humain dans la jungle, mais grégaire au milieu de sa tribu composite, Tarzan emmène la troupe avec lui dans chacun de ses bondissements. Geai (Komorebi), Kopow et Slnd Somé sont ses compagnons inséparables qui virevoltent sur batteries et contrôleurs midi, et hululent avec l’homme-singe ses chants plaintifs et viscéraux sortis du fond des âges, extraits du répertoire de son nouvel album aux influences maloya : Insulaire.
Ils transportent une musique électronique re-jouée live de façon organique, tournoyant sur elle même à coup de steel drum, de kora de batterie, de percussions et de synthétiseurs trouble fête, en détournant les codes de musiques traditionnelles avec des sonorités et des façons hybrides et modernes.
Drum, Persussions : Kopow / Midi Keyboard Instruments, Voix : Somé / Bass Keyboard, Voix : Geai / Pad MPD, Chant Lead : Tarzan
Percussions, Kora, Steel Drum, Synthé, Basse, Beat, chants bruts et autotune écorchent avec joie les secrets de l’homme-singe et du Greystoke insomniaque en lui, au cours de morceaux qui empruntent autant au maloya d’Alain Peeters, qu’aux hybridations de Msafiri Zawose ou des textes malicieux de Gainsbourg ou Bonnie Banane.